Dessus la rive de la mer : Différence entre versions

De TESTS Wikitrad
Aller à : navigation, rechercher
(Sources)
m
 
Ligne 18 : Ligne 18 :
 
Le marinier qui les menait si par amour les prie (bis)
 
Le marinier qui les menait si par amour les prie (bis)
 
A la plus jeune s’adressa comme à la plus jolie.
 
A la plus jeune s’adressa comme à la plus jolie.
 
  
 
A la plus jeune s’adressa comme à la plus jolie (bis)
 
A la plus jeune s’adressa comme à la plus jolie (bis)
 
Bon gré, mal gré me baiserez, et si ferez ma mie.
 
Bon gré, mal gré me baiserez, et si ferez ma mie.
 
  
 
Bon gré, mal gré me baiserez, et si ferez ma mie. (bis)
 
Bon gré, mal gré me baiserez, et si ferez ma mie. (bis)
 
Et quand vous aurez fait de moi ne vous en moquez mie.
 
Et quand vous aurez fait de moi ne vous en moquez mie.
 
  
 
Et quand vous aurez fait de moi ne vous en moquez mie (bis)
 
Et quand vous aurez fait de moi ne vous en moquez mie (bis)
 
Lors il la prit et la jeta dessus l’herbe fleurie
 
Lors il la prit et la jeta dessus l’herbe fleurie
 
  
 
Lors il la prit et la jeta dessus l’herbe fleurie (bis)
 
Lors il la prit et la jeta dessus l’herbe fleurie (bis)

Version actuelle datée du 11 mai 2011 à 06:24


Informations diverses

Paroles : Anonyme
Musique : Traditionnel
Interprètes :
Origine :
Danse :
Mp3 :
Lapin.jpg

Paroles

Dessus la rive de la mer il y a trois belles filles (bis)
Le marinier qui les menait si par amour les prie

O gentil marinier, ramène-moi à rive.

Le marinier qui les menait si par amour les prie (bis)
A la plus jeune s’adressa comme à la plus jolie.

A la plus jeune s’adressa comme à la plus jolie (bis)
Bon gré, mal gré me baiserez, et si ferez ma mie.

Bon gré, mal gré me baiserez, et si ferez ma mie. (bis)
Et quand vous aurez fait de moi ne vous en moquez mie.

Et quand vous aurez fait de moi ne vous en moquez mie (bis)
Lors il la prit et la jeta dessus l’herbe fleurie

Lors il la prit et la jeta dessus l’herbe fleurie (bis)
Il la baisa et rebaisa, puis lui fit la folie.

Sources

Chanson traditionnelle (XVIeme siècle) recueillie par Pierre Cerveau (Airs, 1599) et Pierre Guédron (Airs de cour, 1602-1620).