M'en revenant de Paris La Rochelle : Différence entre versions
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XVeme siècle : "En revenant de Paris La Rochelle (faisons bonne chère)" [Gaston Paris, Chansons du XVeme siècle, chanson n° XXI] | XVeme siècle : "En revenant de Paris La Rochelle (faisons bonne chère)" [Gaston Paris, Chansons du XVeme siècle, chanson n° XXI] | ||
XVIIeme siècle : "Entre Paris et la Rochelle" [Airs de Cours, Brossart, Poitiers, 1607] | XVIIeme siècle : "Entre Paris et la Rochelle" [Airs de Cours, Brossart, Poitiers, 1607] | ||
− | XXeme siècle : "C'est l'aviron (la jolie Rochelle)" [folklore québécois, recueillie en 1943] | + | XXeme siècle : "[[C'est_l'aviron|C'est l'aviron (la jolie Rochelle)]]" [folklore québécois, recueillie en 1943] |
A noter encore une variante licencieuse connue sous le titre de "Paris-Nantes" [cf par exemple, Le Breviaire du carabin, Éditions Médicales Universitaires, 1974 p.202] | A noter encore une variante licencieuse connue sous le titre de "Paris-Nantes" [cf par exemple, Le Breviaire du carabin, Éditions Médicales Universitaires, 1974 p.202] |
Version du 1 mai 2011 à 03:57
Informations diverses
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Paroles
M'en revenant tra la la gai la tira la
M'en revenant de Paris la Rochelle.
De Paris la Rochelle, eh là !
De Paris la Rochelle.
J'ai rencontré tra la la gai la tira la
J'ai rencontré trois joli' demoiselles
Trois joli' demoiselles, eh là !
Trois joli' demoiselles.
J'n'ai point choisi mais j'ai pris la plus belle
J'l'ai fait monter derrièr' moi sur ma selle
J'ai fait cent lieues sans parler à la belle
Au bout de cent, elle demande à boire
Je l'ai menée à la claire fontaine
Quand elle fit là, ell' ne voulait point boire
Je l'ai conduite au château de son père
Sources
Abbé Elain "Chants traditionnels de Pluherlin"
Variantes
Nombreuses variantes :
XVeme siècle : "En revenant de Paris La Rochelle (faisons bonne chère)" [Gaston Paris, Chansons du XVeme siècle, chanson n° XXI]
XVIIeme siècle : "Entre Paris et la Rochelle" [Airs de Cours, Brossart, Poitiers, 1607]
XXeme siècle : "C'est l'aviron (la jolie Rochelle)" [folklore québécois, recueillie en 1943]
A noter encore une variante licencieuse connue sous le titre de "Paris-Nantes" [cf par exemple, Le Breviaire du carabin, Éditions Médicales Universitaires, 1974 p.202]